Ce que dit la légende…

Il y a plus de 3000 ans…

Les origines de la cité remontent en réalité à l’Age de Bronze (-1 500 avant J-C), époque à laquelle le sel de Salies-de-Béarn était déjà extrait par évaporation de l’eau salée dans des pots en céramique découverts lors de fouilles archéologiques.
 
S’agissant d’un élément de survie – garantissant la conservation des produits carnés et laitiers, le sel devient une monnaie d’échange et une véritable richesse.
 
CE QUE DIT LA LÉGENDE
 
Selon la légende, Salies-de-Béarn se serait bâtie autour d’une source salée découverte au cours d’une chasse au sanglier. Un sanglier traqué aurait échappé à ses poursuivants et aurait été retrouvé dans un marécage quelques jours plus tard couvert de cristaux de sels.
 
C’est ainsi que les hommes auraient découvert la présence de l’eau salée à Salies-de-Béarn et s’y seraient installés, construisant des cabanes autour de la source. On les appela les « Salies ».

1852 : découverte des vertus médicinales du sel

Pour la première fois, un docteur, Charles Nogaret, plonge un patient dans les eaux de Salies-de-Béarn auxquelles il reconnaît des vertus ancestrales. Le premier établissement thermal est construit en 1858 avec 15 baignoires.

Les femmes et les enfants sont au cœur des soins. Un hôtel sera d’ailleurs construit pour Rosita Mori, une danseuse venue en cure à Salies-de-Béarn, il s’agit de l’Hôtel France-Angleterre.

Malgré un incendie ravageur en 1888, le thermalisme poursuit son développement dans la cité. Les thermes sont reconstruits, vient le temps de la “Belle Époque” durant laquelle aristocrates et artistes viennent profiter des vertus de l’eau thermale. 

2025 : Les thermes de Salies-de-Béarn deviennent Selya Resort Thermal & Spa

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